Thursday 23 February 2017

Options D'Achat D'Actions Canada Us Treaty

Sujet: Nombre d'options d'achat d'actions: 07-12 Date: 1192007 Le Protocole révisé prévoit un mécanisme d'attribution du revenu d'options d'achat d'actions entre les pays L'annexe B du cinquième Protocole (le Protocole) Et les États-Unis sur la façon d'imposer le revenu d'emploi des options d'achat d'actions. Dans le passé, il existait une incohérence entre les deux pays qui entraînait parfois une double imposition. Afin d'atténuer cette question, les deux pays ont convenu d'imposer le revenu d'emploi selon un ratio convenu. Le ratio est basé sur le nombre de jours pendant lesquels un individu a été employé au lieu de travail au nombre de jours employés entre la date d'octroi et la date d'exercice. Supposons les faits suivants: Une personne a reçu une option d'achat d'actions le premier jour de son emploi au Canada. L'individu a travaillé pendant 300 jours au Canada avant de déménager aux États-Unis. L'individu a exercé les options 400 jours après son déménagement aux États-Unis. Dans un cas comme celui-là, 300 plus de 700 des revenus d'emploi seront attribués au Canada et le reste attribué aux États-Unis. Nonobstant ce qui précède, les autorités compétentes des deux pays peuvent convenir d'attribuer le revenu d'une manière différente si les deux pays conviennent que les termes de l'option étaient tels que la subvention était essentiellement un transfert de propriété. Par exemple, si les options ont été octroyées en argent ou non sous réserve d'une période d'acquisition substantielle, l'autorité compétente peut alors réattribuer le revenu d'emploi. L'IMPÔT DE LA SEMAINE est offert gratuitement aux clients et aux amis des sociétés membres du groupe de spécialistes en fiscalité. Le Groupe de spécialistes en fiscalité est une affiliation nationale d'entreprises qui se spécialisent dans la prestation de services de conseils fiscaux à d'autres professionnels, entreprises et personnes fortunées sur des questions fiscales canadiennes et internationales et des litiges fiscaux. Le matériel fourni dans Conseil fiscal de la semaine est censé être précis et fiable à la date où il est écrit. Les lois fiscales sont complexes et sont sujettes à des changements fréquents. Les conseils professionnels devraient toujours être recherchés avant la mise en œuvre de tout plan de planification fiscale. Ni le groupe de spécialistes en fiscalité ni aucune société membre ne peut accepter de responsabilité pour les conséquences fiscales qui peuvent résulter d'une action fondée sur le contenu des présentes. Bulletin de droit fiscal Nouveau protocole à la Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis: dispositions transfrontalières en matière de pensions et nouvelles règles d'attribution d'options d'achat d'actions Dispositions transfrontières relatives aux régimes de retraite Le cinquième protocole (le Protocole) Élargit sensiblement le champ d'application des dispositions du traité relatives aux pensions. Le Protocole prévoit des allégements fiscaux pour les personnes qui ont des affectations de travail transfrontalières et qui sont couverts par un régime de retraite qualifié en dehors de leur pays d'origine. En vertu des dispositions actuelles du Traité, le redressement est limité à un choix de report de l'impôt sur le revenu accumulé dans un régime de l'autre pays jusqu'à ce que le régime établisse une distribution. Le choix ne s'étend pas aux cotisations ou aux prestations accumulées en vertu d'un régime de retraite. Le Protocole répond à ces lacunes par deux nouvelles dispositions qui s'appliquent spécifiquement aux cotisations de régime et aux prestations accumulées. Les dispositions du Protocole s'appliquent aux régimes qui sont désignés comme des régimes de retraite admissibles. Ces plans sont définis dans l'une des notes diplomatiques qui accompagnait la publication du Protocole. Aux fins canadiennes, les régimes de retraite admissibles comprennent les régimes de pension agréés en vertu de l'article 147.1 de la Loi de l'impôt sur le revenu (Canada) (la Loi de l'impôt), les régimes enregistrés d'épargne-retraite (REER) du groupe en vertu du paragraphe 204.2 (1.32) Les régimes prévus à l'article 147 et tout REER ou Fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) qui sont financés exclusivement par des cotisations de roulement d'un régime coté. Un REER individuel, autre qu'une personne financée par des cotisations de roulement, ne sera généralement pas admissible aux avantages du Traité. Les nouvelles dispositions relatives aux pensions s'appliqueront aux personnes qui résident dans un pays tout en travaillant dans l'autre pays et qui contribuent à un régime de retraite admissible dans le pays où elles travaillent. Par exemple, un résident canadien qui travaille aux États-Unis peut contribuer au régime de retraite des employeurs américains. Les cotisations individuelles au régime seront déductibles aux fins de l'impôt sur le revenu canadien. Le montant des prestations créditées en vertu du régime américain ne sera pas inclus dans le revenu des employés au cours de l'année où ils sont accumulés. Cet allégement fiscal sera limité à la salle de déduction des REER disponible pour les particuliers déterminée en vertu de la Loi de l'impôt. Le montant des cotisations versées au régime américain déduit par le particulier sera pris en compte dans le calcul de la limite de cotisation à un REER à vie. Une deuxième disposition du Protocole étendra les prestations à une personne qui travaille dans un pays tout en continuant comme membre d'un régime de retraite admissible dans l'autre pays. Cette disposition s'appliquerait à un particulier américain qui occupe un emploi au Canada et continue d'accumuler des prestations de retraite en vertu de son régime de retraite des employeurs américains. Sous réserve d'un ensemble de conditions détaillées, les cotisations versées au régime américain et les avantages découlant de ce régime seraient déductibles ou exclusables dans le calcul du revenu des employés au Canada. Les avantages de ce redressement ne sont pas disponibles si un particulier a effectué des services dans le pays dont il n'est pas résident pendant plus de 60 des 120 mois précédant les années d'imposition courantes des individus. Pour obtenir réparation en vertu de la disposition, le particulier doit avoir été membre du régime de retraite admissible immédiatement avant d'occuper un emploi dans l'autre pays. Une autre condition à la disponibilité des mesures de redressement est qu'aucune cotisation ne peut être versée à un régime de retraite admissible dans le pays d'emploi pendant la période de service. À cet effet, si l'emploi est au Canada, un REER individuel est considéré comme un régime de retraite admissible. Le Protocole inclut un certain nombre d'améliorations techniques supplémentaires à l'article du Traité sur les pensions. Par exemple, un IRA de Roth est ajouté spécifiquement à la définition d'une pension aux fins du Traité. Le protocole précise également qu'un membre d'une société de personnes qui exploite une entreprise sera considéré comme étant une relation employeur-employé aux fins de l'application des dispositions de la Loi sur les pensions du Protocole. Les dispositions relatives aux pensions s'appliqueront aux années d'imposition commençant après l'année civile au cours de laquelle les gouvernements du Canada et des États-Unis échangeront les notifications de ratification. Règles sur la répartition des options d'achat d'actions Le Canada et les États-Unis ont exprimé, depuis un certain temps, des points de vue divergents quant à l'imposition des avantages d'options d'achat d'actions reçus par une personne employée dans les deux pays. Cette divergence peut conduire à une double imposition. Afin d'éliminer la possibilité d'une double imposition, l'annexe B du Protocole prévoit une nouvelle règle de répartition qui s'applique aux situations dans lesquelles un salarié bénéficie d'une option d'achat d'actions dans un pays et exerce l'option dans l'autre pays ) Employeur. Aux termes des nouvelles règles, tant le Canada que les États-Unis auront le droit d'imposer la prestation d'options d'achat d'actions, mais chaque pays se limitera à imposer seulement la partie de la prestation qui correspond au nombre de jours où le lieu principal des employés L'emploi était dans ce pays pendant la période comprise entre la date de la subvention et la date de réalisation des options en question divisée par le nombre de jours de cette période. Il existe cependant un pouvoir discrétionnaire réservé aux autorités compétentes du Canada et des États-Unis pour prévoir une allocation de remplacement si les modalités des options pertinentes étaient telles que leur subvention serait mieux traitée comme un transfert de propriété de titres Exemples donnés dans les situations de référence de l'Annexe où les options étaient en argent ou non soumises à une période d'acquisition substantielle). Ce qui précède ne donne qu'un aperçu. Les lecteurs sont priés de ne prendre aucune décision basée uniquement sur ce matériel. Il faut plutôt consulter un avocat qualifié. Copyright 2007 McMillan Binch Mendelsohn SENCRL, srl Pour imprimer cet article, il vous suffit d'être inscrit sur Mondaq. Cliquez pour ouvrir une session en tant qu'utilisateur existant ou Inscrivez-vous afin que vous puissiez imprimer cet article. Archive - Backgrounder Les informations archivées sont fournies à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Il n'est pas assujetti aux normes Web du gouvernement du Canada et n'a pas été modifié ni mis à jour depuis qu'il a été archivé. Veuillez nous contacter pour demander un format autre que ceux disponibles. Le cinquième protocole à la convention fiscale entre le Canada et les États-Unis Points clés Les conventions fiscales empêchent la double imposition, contribuent à l'application des lois fiscales et renforcent la coopération. Au sein du réseau canado de plus de 85 conventions fiscales, la Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis est particulièrement importante. La Convention a été signée en 1980. C'est la cinquième série de changements (protocoles) depuis lors. Le cinquième protocole offre des avantages importants aux particuliers et aux entreprises canadiens en éliminant la retenue à la source sur les paiements d'intérêts transfrontaliers permettant aux contribuables d'exiger que les questions de double imposition insolubles soient réglées par arbitrage afin d'éviter la double imposition des gains des émigrants En étendant les avantages de la convention aux sociétés à responsabilité limitée qui accordent une reconnaissance fiscale mutuelle des cotisations de retraite en précisant comment les options sur actions sont taxées et en mettant en œuvre de nombreuses améliorations techniques et mises à jour. Pour faire partie de la loi canada, le cinquième protocole doit être adopté par le Parlement. Le gouvernement envisage d'introduire la législation requise dès que possible. Remarque importante: Le présent document d'information est un guide général en langage clair sur les règles, les documents et les pratiques qui sont intrinsèquement complexes. Bien que tous les efforts ont été faits pour assurer l'exactitude, ce guide n'est ni une description technique complète ni une interprétation officielle des sujets qu'il traite. Les exemples fournis sont des cas simplifiés qui ne sont pas destinés à représenter des personnes ou des transactions réelles. Traités fiscaux Chaque fois qu'un résident d'un pays gagne un revenu dans un autre pays - que ce soit en faisant des affaires, en faisant un investissement ou en y travaillant - il existe un risque de double imposition. Cela est dû au fait que le pays de résidence et le pays où le revenu est gagné peuvent légitimement revendiquer des droits d'imposer les mêmes revenus. Pour éviter cette double imposition, les pays signent des conventions fiscales bilatérales (également appelées conventions fiscales ou accords de double imposition). Ces accords, qui deviennent juridiquement contraignants une fois ratifiés, indiquent quel pays obtient d'imposer des formes particulières de revenu dans une variété de situations spécifiques. Les conventions fiscales contribuent également à l'application de la loi fiscale en prévoyant des échanges d'informations entre les autorités fiscales. Et les traités comportent des mécanismes pour résoudre les divergences de vues entre les pays sur des questions comme la caractérisation d'un élément de revenu particulier ou où il a été gagné. Avec une économie dynamique et une population mobile, les conventions fiscales sont de plus en plus importantes pour le Canada. Ceux qui bénéficient de ces conventions fiscales pays comprennent les entreprises établies qui opèrent ou investissent à l'étranger, de nouvelles entreprises qui cherchent des investissements étrangers, et les personnes qui souhaitent travailler temporairement dans un autre pays ou posséder des biens là-bas. Une convention fiscale donne à toutes ces personnes des réponses fiables quant à l'endroit où elles doivent payer des impôts. Le réseau de traités fiscaux Canadas est vaste: nous avons des DTA avec plus de 85 pays, dont nos partenaires de l'ALENA, presque tous les pays de l'Union européenne et de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), de nombreux membres du Commonwealth et de la Francophonie, Comme le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. Convention fiscale entre le Canada et les États-Unis La convention fiscale entre le Canada et les États-Unis est particulièrement importante compte tenu de la profondeur des liens entre le Canada et les États-Unis. Comme tous les DTA de Canadas, le traité entre le Canada et les États-Unis repose sur un modèle élaboré par l'OCDE, mais il a toujours inclus certaines caractéristiques spéciales qui reflètent la relation unique entre le Canada et les États-Unis. Au fur et à mesure que les pratiques commerciales et les pratiques d'investissement transfrontalières évoluent, le traité fiscal doit également changer pour rester efficace. L'actuelle convention fiscale entre le Canada et les États-Unis a été signée pour la première fois en 1980. Elle a été mise à jour à quatre reprises en 1983, 1984, 1995 et 1997. Ces quatre protocoles (ensembles de modifications au traité) couvraient un large éventail de points, Ont contribué à faire en sorte que le traité adopte les derniers développements dans les politiques fiscales des deux pays ainsi que les besoins changeants des particuliers et des entreprises canadiens et américains. Le budget de 2007 du Canada a noté qu'un accord de principe avait été conclu avec les États-Unis sur un cinquième protocole pour mettre à jour le traité fiscal. Le cinquième Protocole Le Protocole signé le 21 septembre 2007 propose de modifier et d'actualiser bon nombre des dispositions de la convention fiscale entre le Canada et les États-Unis. Ce cinquième protocole entrera en vigueur une fois qu'il aura été ratifié par les gouvernements du Canada et des États-Unis (ou le 1er janvier 2008, s'il est ratifié en 2007). Le Protocole est accompagné de deux échanges de notes diplomatiques qui exposent bon nombre des aspects plus techniques. Voici quelques explications succinctes de plusieurs éléments clés du Protocole: Élimination de la retenue d'impôt sur les intérêts Personne à qui elle touche: Tout résident du Canada ou des États-Unis qui verse des intérêts à une personne dans l'autre pays. Règle actuelle: Si les intérêts sont payés à travers la frontière entre le Canada et les États-Unis, la convention fiscale permet généralement au pays d'origine du payeur (le pays source) de taxer cet intérêt. La taxe, à concurrence d'un taux d'imposition de 10, est perçue en obligeant le payeur à retenir et à verser une partie du paiement d'intérêts - d'où la retenue à la source. Nouvelle règle: Le pays d'origine ne peut taxer les intérêts transfrontaliers. Exemple: Un résident du Canada qui emprunte de l'argent à un prêteur des États-Unis ne sera plus tenu de retenir et de remettre l'impôt canadien sur les paiements d'intérêts. Importance: La réduction des coûts d'emprunt rend l'investissement transfrontalier plus efficace. Application: S'applique aux intérêts payés entre des personnes sans lien de parenté (par ex. Une banque et son client - à partir du deuxième mois après l'entrée en vigueur du Protocole. Pour les intérêts payés entre des personnes liées - p. Une filiale et sa société mère - l'exonération totale s'applique à partir de la troisième année après l'entrée en vigueur. (Pour la première et la deuxième années après l'entrée en vigueur, la limite du taux d'imposition du pays d'origine est réduite de 10 à 7 et 4, respectivement.) Qui affecte: Les résidents du Canada ou des États-Unis qui font face à une double imposition non résolue Par le truchement des règles ou par la négociation entre les deux autorités fiscales. Règle actuelle: En plus de ses nombreuses dispositions spécifiques, le traité fiscal a une règle générale de blocage qui permet aux autorités fiscales de s'entendre dans les cas où le traité ne résout pas une question entre eux. (Une procédure d'arbitrage volontaire - celle dans laquelle les deux pays doivent eux-mêmes convenir avec le contribuable d'envoyer la question à un conseil d'arbitrage - est autorisée par le traité actuel, mais n'a pas été mise en œuvre.) Si les autorités fiscales ne résolvent pas le différend Entre eux, il n'existe aucun autre mécanisme pour résoudre le différend. Cela signifie que les contribuables ne peuvent être assurés que leurs problèmes de double imposition seront résolus. Nouvelle règle: Dans les questions les plus importantes qui nécessitent l'accord des autorités fiscales, les contribuables peuvent obliger les autorités à soumettre leur différend à un arbitrage exécutoire. Notez que cette procédure est entièrement facultative pour le contribuable: la nouvelle règle est qualifiée d'arbitrage obligatoire parce qu'elle est obligatoire pour les autorités fiscales. Exemple: Une société américaine vend des produits à sa société mère canadienne pour un certain prix. La société des États-Unis est soumise à une vérification des prix de transfert aux États-Unis qui détermine qu'un prix plus élevé devrait s'appliquer aux marchandises et évalue plus de revenus entre les mains de la filiale. Toutefois, les autorités canadiennes ne sont pas d'accord avec le prix de transfert plus élevé et diminuent pour augmenter le coût de la marchandise de l'entreprise canadienne. Les deux autorités fiscales ne peuvent pas parvenir à un accord. Les sociétés peuvent, sous certaines conditions, choisir d'exiger des autorités fiscales qu'elles soumettent l'affaire à un arbitrage exécutoire. Les détails du processus d'arbitrage sont exposés dans un échange de notes diplomatiques. Importance: Augmentation de la confiance des contribuables que le traité fiscal permettra de résoudre la double imposition éventuelle. Application: S'applique aux cas qui sont, à l'entrée en vigueur du Protocole, déjà à l'étude dans le cadre de la procédure d'accord mutuel traitys, ainsi que les cas qui sont ultérieurement pris en considération. Migration des contribuables - protection contre la double imposition Qui concerne: Personnes qui cessent d'être résident dans un pays et qui deviennent résident de l'autre. Règle actuelle: Le traité fiscal permet à chaque pays de taxer ses résidents sur l'ensemble de leurs gains en capital. Aucune disposition ne prévoit la possibilité qu'un pays puisse taxer les émigrants sur un gain avant le départ (comme le fait le Canada en les traitant comme ayant disposé de la plupart des types de biens à des fins de juste valeur marchande). Nouvelle règle: Si, après avoir cessé d'être résident d'un pays et de devenir résident de l'autre, une personne est traitée par le premier pays comme ayant disposé d'un bien, elle peut choisir d'être traitée également dans le deuxième pays Pays d'origine) comme ayant disposé et réapprouvé la propriété au moment de changer de résidence. Exemple: Un émigrant du Canada aux États-Unis possède des actions qui coûtent 100 et valent 1 000. Le Canada considère l'émigrant comme ayant vendu les actions pour 1 000, réalisant un gain en capital de 900 (450 plus-values ​​imposables). L'émigrant peut choisir d'être traité aux fins fiscales aux États-Unis comme ayant réalisé que le gain de 900 avant de devenir résident aux États-Unis. Les États-Unis peuvent taxer tout gain futur sur la valeur de 1000 des actions, mais ne taxeront aucun gain Résidait au Canada. Importance: Empêche la double imposition des gains antérieurs à la migration. Application: S'applique aux dispositions (c'est-à-dire aux émigrations) qui ont eu lieu après le 17 septembre 2000 (date à laquelle le ministère des Finances des États-Unis et le ministère des Finances des Canadas ont annoncé un accord sur cette question). Sociétés à responsabilité limitée (LLC) et autres entités hybrides À qui elle affecte: Entités qui sont traitées comme des sociétés selon la législation d'un pays, mais qui sont traitées comme des sociétés de personnes (ou des véhicules de passage) dans l'autre pays. Règle actuelle: Aucune adaptation spécifique de ces entités hybrides. Pour bénéficier de la convention fiscale (réduction des retenues à la source, etc.), une entité doit résider (c'est-à-dire imposable) dans l'un des pays visés par le traité. Si une entité est un véhicule de transit dans son pays d'origine, elle n'est pas imposable au lieu de cela, ses investisseurs sont imposés directement au moment où ils gagnent un revenu. Mais si l'autre pays voit l'entité comme une société, cet autre pays appliquera le critère de résidence (taxabilité) à l'entité elle-même et l'entité échouera. Nouvelle règle: Les revenus que les résidents d'un pays gagnent à travers une entité hybride seront dans certains cas traités par l'autre pays (le pays source) comme ayant été gagnés par un résident du pays de résidence. En revanche, une règle corollaire prévoit que si un revenu d'entité hybride n'est pas imposé directement aux mains de ses investisseurs, il sera considéré comme n'ayant pas été gagné par un résident. Exemple: Les investisseurs américains utilisent une LLC pour investir au Canada. La LLC - que le Canada perçoit comme une société, mais qui est un véhicule accréditif aux États-Unis - gagne un revenu de placement de source canadienne. Pourvu que les investisseurs américains soient imposés aux États-Unis sur le revenu de la même manière qu'ils le feraient s'ils l'avaient gagné directement, le Canada considérera le revenu comme ayant été payé à un résident des États-Unis. Les taux réduits de retenue à la source prévus dans la convention fiscale s'appliqueront. Importance: élimine un obstacle potentiel à l'investissement transfrontalier. Réduit l'incidence de la double non-imposition par une meilleure adéquation des règles fiscales dans les deux pays. Application: La règle de base s'applique aux fins de la retenue à la source à compter du deuxième mois suivant l'entrée en vigueur du Protocole. La règle du corollaire s'applique après deux ans. Pensions et autres régimes enregistrés - reconnaissance mutuelle À qui s'adresse-t-il: Les navetteurs transfrontaliers - personnes physiques résidant dans un pays et travaillant dans l'autre - qui cotisent à un régime de retraite (ou à certains autres régimes de retraite liés à l'emploi) ils travaillent. Aussi, les personnes qui se déplacent d'un pays à l'autre à court terme (jusqu'à cinq ans) des affectations de travail, et continuer à contribuer à un plan ou un arrangement dans le premier pays. Dans certains cas, ces employeurs peuvent également en bénéficier. Règle actuelle: Aucune règle concernant les cotisations, c'est-à-dire aucune garantie qu'elles peuvent être déduites fiscalement dans le pays d'emploi. Nouvelle règle: à condition que certaines conditions soient remplies, les navetteurs transfrontaliers peuvent déduire, aux fins de l'impôt sur le territoire de résidence, les cotisations qu'ils versent à un régime ou à un arrangement dans le pays où ils travaillent. De même, les personnes qui se déplacent pour le travail et remplissent certaines conditions peuvent déduire, à des fins fiscales, leurs cotisations à un régime ou à un arrangement dans l'autre pays, jusqu'à concurrence de cinq ans. Dans les deux cas, les prestations accumulées ne sont pas imposables. Exemples: (1) Un résident du Canada est employé aux États-Unis et participe à un régime de retraite parrainé par l'employeur. Les cotisations des employés au régime (jusqu'à concurrence de la retenue sur les REER) seront déductibles aux fins fiscales canadiennes. (2) Un employé d'une société canadienne est affecté pendant trois ans à une société américaine connexe. L'employé continue de cotiser au régime de retraite des employés de la société canadienne. Aux fins de l'impôt américain, l'employé et la société américaine pourront déduire les cotisations. Importance: facilite le déplacement de personnel entre les deux pays en supprimant un éventuel désincitation pour les navetteurs et les affectations de travail temporaires. Application: S'applique aux années d'imposition commençant après l'année civile au cours de laquelle le Protocole entre en vigueur. Toutefois, si la ratification est achevée en 2007, la règle s'applique pour les années d'imposition commençant en 2008 (c'est-à-dire la même année civile à laquelle le Protocole entre en vigueur). Options d'achat d'actions - répartition des droits imposables A qui s'adresse-t-il? Les employés auxquels des options d'achat d'actions d'employés sont attribuées dans un pays et qui travaillent pour le même employeur ou un autre employeur dans l'autre pays avant d'exercer ou de céder l'option le partage). Règle actuelle: Aucune règle spécifique ne prévoit la répartition entre les deux pays d'une prestation d'option d'achat d'actions dans de tels cas. Nouvelle règle: On considérera généralement que le revenu en question (l'avantage lié à l'option d'achat d'actions) a été obtenu dans un pays dans la mesure où le lieu d'affectation principal était dans ce pays pendant la période entre l'octroi de l'option et son exercice (Ou la disposition de l'action). Exemple: Un employé d'une société américaine reçoit une option d'achat d'actions le 1er janvier 2009. Le 1er janvier 2010, l'employé est transféré du siège social de la société à sa filiale canadienne. Au 31 décembre 2011, l'employé dispose de l'option, ce qui donne lieu à une inclusion de revenu. À moins que les autorités fiscales ne conviennent que les circonstances justifient un écart par rapport à la règle habituelle, un tiers des revenus seront considérés comme ayant été créés aux États - Unis et les deux tiers au Canada. Importance: Donne la clarté quant à l'approvisionnement des avantages d'options d'achat d'actions ajoute la certitude que la double imposition ne se produira pas. Application: Comme un ensemble de règles techniques détaillées, cela est inclus dans un échange de notes diplomatiques, plutôt que dans le Protocole lui-même. Entrée en vigueur à la même date que le Protocole. Prochaines étapes Pour prendre effet, le Protocole doit être ratifié selon les procédures applicables au Canada et aux États-Unis. Pour le Canada, cela signifie que le Protocole fait partie du droit canadien, en adoptant une loi à cet effet. Le Protocole sera donc présenté au Parlement dans un projet de loi qui, comme tout autre projet de loi, doit être approuvé par la Chambre des communes et le Sénat et doit obtenir la sanction royale. Le gouvernement du Canada a l'intention de présenter le projet de loi requis dès que possible. Pour de plus amples renseignements La convention fiscale entre le Canada et les États-Unis est disponible sur le site Web du ministère des Finances, à l'adresse fin. gc. catreatiesUSAe. html. De nombreuses bibliothèques publiques au Canada possèdent souvent dans leur collection de référence une ou plusieurs éditions commerciales de la Loi de l'impôt sur le revenu qui incluent également la Convention et les documents connexes. Des renseignements sur les lois en instance, y compris les projets de loi sur les traités fiscaux, sont disponibles sur le site Web du Parlement du Canada, au


No comments:

Post a Comment